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Dr DemersBienvenue aux membres du Club Privilège!

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Non seulement vous pourrez suivre mon cheminement dans les médias, mais je fais pour vous une analyse critique des diverses sources d'informations concernant l'hormonothérapie et autres sujets connexes et je n'hésite pas à remettre en questions certaines coyances et pratiques actuelles.

Vous retrouvez facilement l'information désirée qui est classée en cinq catégories: Dre Demers dans les médias, Émissions, Chroniques, Cas cliniques et Blogue. Dans cette page d'accueil (QUOI DE NEUF?), vous êtes avisé(e)s des cinq ajouts les plus récents.
06 février, 2015 - Émissions

Le concept erronĂ© et misogyne de « dominance en estrogènes »: Ma rĂ©ponse Ă  une femme qui me demande comment cesser sa « production excessive d’estrogènes ».

Dans cette capsule, on explique que les femmes ayant des formes fĂ©minines prononcĂ©es (p. ex.: seins et cuisses taille forte) n’ont gĂ©nĂ©ralement pas plus d’estrogènes que les femmes avec des seins ou des cuisses de taille moyenne voire petite. Les estrogènes ne sont pas responsables de l’obĂ©sitĂ©, et l’obĂ©sitĂ© n’est pas responsable d’un taux d’estrogènes Ă©levĂ©.
Il est vrai que les estrogènes sont impliquĂ©s dans la distribution des graisses chez les femmes (distribution de type poire), mais il s’agit de bons gras. Les mauvais gras (distribution de type pomme ou obĂ©sitĂ© abdominale) ne sont pas dus aux estrogènes. En fait, c’est plutĂ´t le dĂ©ficit de production d’estrogènes qui est liĂ© Ă  l’obĂ©sitĂ©, notamment l’obĂ©sitĂ© abdominale.
Plusieurs facteurs (avec un bonne base gĂ©nĂ©tique) jouent dans la dĂ©termination du volume des seins: taux dans les seins de l’insuline, de la prolactine, du facteur de croissance Ă©pidermique, du facteur de croissance insulinique… Par exemple, chez des personnes ayant un surplus de poids depuis l’enfance (facteur hĂ©rĂ©ditaire probable), j’ai observĂ© un taux d’insuline Ă  jeun plus Ă©levĂ©.

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20 janvier, 2015 - Émissions

Le concept de « dominance en estrogènes »: dĂ©magogie et misogynie (critique du texte: Overdose d’oestrogènes)

Dans cette capsule, on dĂ©finit ce concept inventĂ© par le Dr John Lee pour dĂ©crire une situation oĂą une femme a un taux Ă©levĂ© d’estrogènes comparĂ© Ă  son taux de progestĂ©rone. Selon le Dr John Lee, une foule de problèmes de santĂ© serait dues Ă  cette « dominance en estrogènes » (la liste est longue). Ainsi, quand les estrogènes « domineraient », cela irait mal! Quel message misogyne! Pas loin du message dĂ©jĂ  entendu plus d’une fois dans les mĂ©dia: « trop d’estrogènes est toxique », en parlant des femmes. En rĂ©alitĂ©, dans les cas dĂ©crits par le Dr Lee, il ne s’agit pas de femmes qui ont un taux trop Ă©levĂ© d’estrogènes, mais de femmes qui prĂ©sentent un taux de progestĂ©rone trop bas (dans certains cas, comme dans l’ostĂ©oporose, les femmes ont plutĂ´t une dĂ©ficience grave en estrogènes). Il s’agit donc d’une « dĂ©ficience en progestĂ©rone » et non d’une « dominance en estrogènes ». Ce qu’il y a de plus regrettable, c’est qu’on associe les estrogènes aux maladies et Ă  toutes sortes de « troubles », vĂ©hiculant un message faux et mĂ©prisant envers toutes les femmes.

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01 juillet, 2014 - Émissions

Le paradoxe de l’obĂ©sitĂ©: Comment l’expliquer? (1er juillet 2014)

Dans cette capsule-vidéo, nous apprendrons que les estrogènes exercent un effet protecteur contre les maladies, dont notamment le cancer du sein, tant chez les femmes obèses que non obèses.
En l’absence d’hormonothĂ©rapie, les femmes de plus de 65 ans qui font de l’embonpoint ont une meilleure espĂ©rance de vie que celles ayant un poids santĂ© probablement Ă  cause d’une plus grande production d’estrogènes via leur tissu adipeux.

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16 juin, 2014 - Émissions

La restriction calorique: est-ce bon pour la santé? (17 juin 2014)

Dans cette capsule-vidéo, nous nous demanderons si le fait de moins manger augmente notre espérance de vie.

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02 juin, 2014 - Émissions

Le mythe des antioxydants (3 juin 2014)

Le mythe des antioxydants from Sylvie Demers on Vimeo.

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